âge • 18 ans
date de naissance • 21 juin
genre • masculin
orientation sexuelle • homosexuel

métier • aucun
agence • sirius cooperative
poste • guitariste électrique + chanteur pop rock

potentiel • éveillé
affinité • psy

Kiyo… eh bien, c’est Kiyo. C’est un enfant dans l’âme malgré son âge. Il est toujours là à quémander l’attention de tout le monde, à vouloir qu’on joue avec lui sinon il s’ennuie. Et quand il s’ennuie, il vaut mieux ne pas être dans les environs ou se mettre à l’abri. Parce que, dans ce cas, il commence à exécuter des farces à tous ceux qui ont le malheur de le croiser. Coloration ou produits dont on ne veut pas connaître l’origine soudainement dans les cheveux, déguisements, gribouillages sur le visage… à moins d’être rapide, personne n’y échappe. Ce ne sont que de petits exemples de ce qu’il peut faire.

L’adolescent ne compte plus le nombre de fois où ses professeurs ou des gens au hasard lui ont sommé d’arrêter ses bêtises ou de se calmer. Dommage pour eux qu’il s’en fiche royalement. Il déteste la monotonie de la vie et, comme il tient rarement en place, préfère faire le clown pour amuser la galerie. Il veut supprimer la tristesse et la colère de l’expression d’autrui, pour les remplacer par des sourires enjoués.

Par ailleurs, c’est ce tempérament enfantin à toute heure de la journée qui trompe aisément les gens. En effet, le jeune homme est tout sauf idiot. Si certains déduisent qu’il est malin et rusé grâce à des plaisanteries particulièrement élaborées… ce n’est pas seulement ça. Très observateur au point de retenir des détails inutiles sur les gens et parvenant à des conclusions logiques très rapidement, il est capable d’élaborer des petits plans pour distraire ou énerver précisément quelqu’un.

Peu ordonné, le garçon est difficile à suivre. Ses pensées sont semblables au chaos, sans queue ni tête. Ça se constate à la fois dans le désordre de sa chambre, mais aussi dans ses discussions sans fin qui peuvent passer d’un sujet à un autre sans aucun lien entre eux. Et pourtant, pour lui, tout se suit. Mais il faut s’armer d’une grande quantité de patience quand on traîne avec lui. L’avantage, c’est que pour les personnes timides ou peu bavardes, il remplit le rôle pour deux, faisant les questions et les réponses à lui tout seul.

Intrépide, le guitariste a tendance à s’élancer après une idée qui lui a traversée l’esprit sur un pur coup de tête, ne réfléchissant que sur le moment sur ce qu’il va faire. Il adore également relever les défis qu’on lui lance, et encore plus lorsqu’il s’agit d’une partie d’échecs. Partie qui peut bien durer quatre heures selon l’adversaire…

21 juin, premier jour sous le signe astrologique du Cancer symbolisant souvent l’immaturité, et journée de la fête de la musique.

Avec juste ces deux indications, la vie du petit Kiyo semblait toute tracée. Et c’est en grande partie vrai, si on n’oublie le côté familial très chaotique. En effet, il est fils unique d’une mère qui accorde plus attention à son travail d’avocate et d’un père qui, après la séparation de ses parents quand il avait six ans, passe plus son temps à boire et à fumer tout en bavant sur les idoles à la télé qu’à faire autre chose. Honnêtement, il souhaitait aller vivre avec sa mère, sauf qu’elle ne voulait pas.

Au moins, elle l’aime suffisamment pour lui envoyer régulièrement de l’argent pour qu’il puisse vivre sans trop de difficultés. Et elle le voit aussi pratiquement tous les week-ends, donc ça ne le dérange pas. Il a abandonné de corriger les mauvaises habitudes de son père, par contre. Désormais, il se contentait surtout de nettoyer la maison et d'ouvrir les fenêtres pour éviter que l’odeur d’alcool et de tabac devienne insupportable.

Mouais. Vraiment pas idéales, comme conditions d’hygiène. Heureusement, il a été sauvé par Sirius Cooperative, et loge désormais dans l’un des appartements fournis par la société. Au grand damne de ses compagnons d’appartement qui doivent le supporter. Et croyez-le, c’est tout un défi car même s’il s’occupait de la maison… son espace à lui reste terrible. Avec énormément de myosotis partout, mais aussi des objets en tout genre pouvant servir à de futures farces.

Bref, revenons-en au début.

Kiyo, jusqu’à l’âge de six ans, a donc vécu avec ses parents dans un semblant d’harmonie. Très tôt, il s’est intéressé aux idoles. Le fait que tous les enfants de sa classe en parlaient, aidait énormément. Il était toujours au courant des derniers spectacles, des derniers albums sortis, des nouvelles idoles apparaissant à la télé… et en plus, elles pouvaient se battre contre les monstres terrifiants ! C’était les héros des temps modernes !

Il les enviait grandement. Lui aussi espérait pouvoir en devenir une. Son père lui répétait qu’il n’avait aucune chance, car lui et sa femme étaient dénués de potentiel. Donc il refusa lorsque l’enfant demanda à apprendre la guitare électrique. Son père ne voulut toujours rien savoir même quand il lui annonça que les tests l’avaient révélé positif au potentiel, affinité de type psy.

Chance pour lui, les voisins possédaient une guitare électrique… et ils étaient chez eux… peut-être qu’il pourrait leur demander s’ils pouvaient lui apprendre ou juste le laisser l’utiliser quelques heures, pas vrai… ?

Mais son père n’accepterait jamais… Alors ainsi commencèrent ses premières sorties en se faufilant discrètement pour aller à la maison voisine. À sa grande surprise, le couple l’accueillit avec plaisir et le laissa se servir de l’instrument. Quelle joie était-ce de toucher, de prendre la guitare entre ses mains…

Au début, il tenta d’apprendre par lui-même. Oui, il refusa vraiment l’aide du couple… Se souvenant des chansons qu’il entendait à la télé, il essaya de les reproduire aussi proche de la mélodie originale qu’il le pouvait. À défaut de l’aider, le couple l’écoutait et rigolait quand il ratait les notes. Ce n’était pas méchant, ça les amusait de le voir recommencer encore et encore malgré son nombre incalculable d’échecs.

Finalement, au bout de deux semaines à ne parvenir à rien, il céda et les supplia de lui apprendre comment jouer. Très vite, ça se passa nettement mieux, découvrant le fonctionnement de la guitare, la façon de la tenir, et les différentes notes pouvant être jouées. Il s’améliora en un clin d’œil, au grand bonheur du couple.

En parallèle, lors de sa deuxième année de collège, le garçon fut remarqué par l’un de ses professeurs. Ou plus exactement, son ennui en cours – caché sous ses pitreries constantes – fut remarqué. Alors dans l’espoir de l’intéresser à quelque chose et aussi à pouvoir contrôler son surplus d’énergie, le professeur l’invita au club d’échecs.

Ça fonctionna… à moitié. S’il ne se calma pas à l’école pour autant, il se montra plutôt curieux de cet étrange jeu à 32 pièces, 16 blanches et 16 noires, sur un plateau en damier à 64 cases. Un jeu de stratégie qui oppose deux personnes, et où le premier qui met échec et mat l’adversaire remporte la partie. Ça éveilla immédiatement son intérêt pour les défis, et il décida d’apprendre à jouer. Les règles n’étaient pas difficiles, il les assimila rapidement. Lors des cours d’échecs, un adulte leur présenta – à lui et d’autres enfants de plus ou moins son âge – les tactiques de base, et leur demanda de résoudre des exercices du genre ’’mettez l’adversaire échec et mat en trois coups’’.

Le garçon se passionna pour le jeu, en plus de continuer à pratiquer la musique. C’était les deux seuls moments où il réussissait à rester calme et concentrer.

Au lycée, il se trouva un nouveau délire en jouant aux échecs : celui de s’approcher au plus près de la victoire contre son adversaire, avant de se laisser perdre tout en faisant aucun mouvement qui puisse trahir que c’était exprès. Un nouveau défi vraiment rigolo à son goût, mais qui consterna et rendit confus le directeur du club. Il s’amusait à sa manière. Il ne le faisait pas tout le temps, seulement dans des petites compétitions sans grand intérêt.

Ce fut également vers la fin du lycée que son potentiel s’éveilla purement par hasard, à la grande surprise du couple car il continuait de se rendre chez eux pour jouer de la guitare. Sacrée onde psychique qui causa un énorme mal de tête aux trois, et qui dura trois jours entiers malgré les antidouleurs. Il évita de toucher à nouveau la guitare pour éviter une nouvelle catastrophe.

Heureusement, Sirius Cooperative se présenta chez lui pour le prendre sous leur aile à sa plus grande joie, et à la plus grande horreur de son père. Juste avant qu’il ne quitte la maison, le couple vint lui offrir la guitare électrique, lui disant qu’il pouvait la garder et d’en prendre soin. Le sourire aux lèvres, il accepta avec plaisir et les remercia infiniment.

Cela fait donc un an qu’il travaille pour l’agence en tant qu’idole…

pseudo • Clover
Je ne sais pas trop quoi dire… j’ai vu votre partenariat avec DC-BL, et je suis venu jeter un coup d’œil curieux. Eh bien, vous savez quoi, contexte et design’ m’ont beaucoup plu, alors je me suis inscrit ! Au début, je voulais prendre Kaito (de Magic Kaito) en vava’, mais quand j’ai vu qu’il y a une soudaine arrivée de gens au potentiel de type vol, j’ai switché pour Kokichi…

Coucou !

Alors déjà je suis folle de Kokichi alors gros coup de cœur pour ton perso qui en plus a un caractère que j'adore ?? Il peux venir embêter mes enfants quand il veux hihi ! En plus tu écris d'une façon assez directe et j'aime bien aussi, c'est pas prise de tête c'est super j'adöre  

J'ai juste un tout petit problème a reporté c'est que le métier de joueur d’échec couplé avec celui d'idol me semble être un peu too much ? Genre, être idol ça prend un temps fou et c'est déjà un métier en soi du coup s'il rajoute en plus les échecs derrière le pauvre aura pas assez d'heures dans la journée pour dormir    Du coup comme métier je te propose ne rien mettre et de juste garder le fait qu'il sois idol ! Les échecs ça peut être un passe temps ou autre chose mais pas trop trop un métier...

Voilà c'est une toute petite modification en soit donc je te valide tout de même, je deplacerais ta fiche quand tu auras changé ton métier ! Des bisous !  

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