âge • 20 ans
date de naissance • 30/12
genre • Masculin
orientation sexuelle • Demiromantique
métier• Acteur et photographe quand le temps le permet !

potentiel • non éveillé
affinité • glace

caractère

Notre cœur, apprécie demeurer comme un mystère. Il apprécie, qu’on le pense insaisissable, incontrôlable. On le définit plus que comme un organe, qui permet notre existence sous ces rythmes de tambours, mais, bien, comme le centre de ce que l’on nomme « émotions ». Or, il n’est point impossible de lever ce voile qui recouvre notre caractère. Signe distinct de chaque être vivant. Si l’apparence permet d’identifier un individu, la personnalité, est ce qui définit le mieux son prochain.

Aux yeux du monde, derrière la caméra, ou dans les simples rues chatoyantes, seul, un sourire demeure, sur mon visage opalin. Sourire, est presque comme un geste naturel, habituel. Une expression incapable de s’effacer, car je l’ai maintes fois répété. Les insultes même passent au travers, ma patience certaine, permet d’ignorer tous ces méfaits, sans que je me sente réellement affecté. Peut-être, que cela pourrait en agacer certains, mais il m’est difficile de faire autrement, je cherche tant à me montrer captivant et à ressentir les émotions, les plus sincères qu’elles soient. Or, lorsque l’on vit dans la bienséance, avec une confiance en soi sans limites, que nos actions font rêver et sont appréciées, il est difficile de ne pas être heureux. Le sourire, est un signe de bonheur, ne serait-il pas contradictoire alors, que je m’en délecte ?

N’est-ce point, mon sourire, mon charme dont les commentaires disent souvent adorable, qui me rendent si attrayant ?

Je nourris cela, par ma passion ardente, qui vibre comme des flammes chaleureuses et frénétiques ainsi que mon ambition sans limites ! Je suis positif, point stupide. Et je sais pertinemment, que le fait que je sois borné, caractère dit comme un défaut, peut s’avérer incroyablement valorisant. L’idée d’abandon, n’oserait alors jamais se dévoiler dans mon esprit. Peu importe combien de temps cela peut-il prendre, tant que l’objectif est, un jour, accompli, cela saura ma satisfaire. Prenez-moi, pour un idéaliste qui cherche tant à devenir une idole, dans un rêve anodin que de devenir le preux chevalier cité dans de ridicules histoires ! Je n’arrive pas à éveillé mon pouvoir malgré toutes mes tentatives certes, que je ne suis absolument pas le meilleur des chanteurs et que je ne sais jouer aucun instrument de musique, certes, je suis hématophobe et en plus je suis pleinement capable de faire une crise d’angoisse dans un combat…. Certes… Mais cela n’empêche en rien que cet objectif est irréalisable. Rien n’est si lointain si ce ne sont les étoiles.

Je suis mon intuition, qui me murmure que ce jour arrivera. J’ai toujours suivi mon intuition, et cela m’a toujours été favorable, non ?

Je dévoile en permanence, mes traits les plus élogieux, mais je reste humain. Un humain rempli de défauts. Défauts, que je n’irais jamais proclamer par moi-même.

Méfiance est de mise… Oui… Je suis, beaucoup trop méfiant. Malgré mes airs gentillets, je suis incapable d’accorder avec facilité, les dires des autres. Je fais toujours attention, accordant toute ma logique, pour ne pas me faire avoir, que ce soit par mes connaissances ou de simples inconnus, la naïveté, je ne connais pas.

Hyper curieux. Nourrir mon savoir est une quête secondaire, à laquelle j’accorde beaucoup d’importances. Les connaissances n’ont jamais de limites, et, sont extrêmement enrichissantes dans plein de domaines ! Moi qui cherche la perfection, il est naturel, que la curiosité m’envahisse et m’enivre.

Franc. Je suis incapable de mentir, n’y voyant aucun intérêt. Pire que cela, je suis sans gêne. Peut-être même, que je pourrais être blessant en fonction de la situation. Mais, n’est-il pas étrange, que la franchise et le mensonge, soient tous deux considérés comme des défauts ? Cela dépasse ma compréhension...

Pointilleux, j’aime faire les choses correctement surtout le ménage et les courses, il ne faut rien oublier ! J’aime la perfection. Car ma quête d’élévation m’y pousse sans cesse et pourtant…. Je suis… Procrastinateur. J’aime remettre les choses pour le lendemain, parce que mon envie aura été changeante. Mais, bon, c’est normal d’avoir parfois la flemme non ?

Ce ne sont que des petits défauts. Je crois que, le pire chez moi, c’est, une incapacité certaine à avoir de l’empathie pour les autres. Sourire est un fait, mais, surtout une habitude, venue du constat effroyable qu’est mon manque de sentiment envers les autres. Se montrer adorable, ambitieux et passionné… J’en suis capable, car cela ne me concerne que moi. Que ressentent les autres ? Je ne sais rien. Une personne pleure, je ne serais qu’une personne extérieure. Je suis acteur, je sais imiter les émotions sans réellement les comprendre. Ce qui est un paradoxe à mes yeux. Je ne sais pas m’identifier aux autres. Une faculté, dont j’ai été séparée dès la naissance. Devenir un chevalier pour sauver les autres, protéger les autres, un souhait qui définit ma vie, mais, qui me paraît bien difficile lorsque l’on a dû mal, à ressentir. L’amitié est un bien grand mot à mes yeux. Au début, si quelqu’un dira qu’on est « amis », il n’en sera rien à mes yeux. Totalement indifférent. La question de l’amour, ne m’a jamais affecté. Sans attirances. Sans rien. Parfois, cela m’attriste de constater cette espèce de vide. Mes sentiments, envers autrui me paraissent faux. Difficiles à déterminer et difficile à véritablement ressentir. Il me faut, un temps énorme, avant que mon cœur ne s’ouvre réellement. Sans pour autant, réussir, à comprendre le coeur de ceux qui m’entourent.

Je prends soin de mes fans, en affichant un sourire, et en essayant de répondre à leurs attentes. C’est tout ce dont je suis capable. J’espère sans cesse, dans ce métier, pouvoir m’ouvrir plus aux autres.

Pour cela, tout me passe au-dessus….. Le coeur est indéfinissable et incontrôlable. Trop mystérieux à mon goût.

Cela est bien désagréable.

Il n’y a que l’ombre de cet homme. Morose. Puant l’alcool et le tabac. Sans une once d’amour ou de véritables attentions. Je ne pouvais que le regarder avec dégoût, constatant cette solitude dans ces sombres soirées, alors que haut dans le ciel, la lune régnait.

Une mère inexistante. Un père presque absent. Dès mes premières années, il m’a fallu accepter, l’ignorance qu’il me portait. N’étant qu’un morveux à ses yeux, dont il était obligé de prendre à sa charge, suite aux comportements de cette femme avec qui il avait fait le coup d’un soir. Ma mère enceinte ne l’a pas laissé s’en tirer comme ça, laissant l’enfant de 1 an dans cette résidence.
Digne d’un film comique et tragique, n’est-ce pas ? Pourtant, cela s’est véritablement passé ainsi… Du moins, selon les dires de mon paternel. Je ne saurais pas dire, si j’arrive à le croire. Ce n’est qu’un alcoolique, qui s’enivrait et laissait ces odeurs nauséabondes dans tout l’appartement, à peine, rentrait-il du boulot. Heureusement, qu’il faisait au moins le minimum, en m’emmenant à la garderie et ensuite à l’école toute la journée. Oui, sinon je n’aurais pas tenu… Que ce soit physiquement ou mentalement.

Pourtant, à l’école, cela n’allait pas vraiment non plus. Je n’arrivais pas à rire avec les autres enfants. N’observant qu’au travers de mes pupilles, ces rires enchanteurs, qui résonnent sous ces rayons de soleil. On vient me voir, on me demande si je veux les rejoindre, et dans un ton froid et macabre, j’annonce que je n’y vois pas d’intérêt. J’étais ainsi. Il n’y avait pas une once de méchanceté, ou, de supériorité qui se dégageait. Je ne savais juste pas ce que c’était rire et, au début, lorsque j’entendais mon père dire que les gosses font des trucs stupides… Je me disais que je ne devrais pas le faire. Dans l’espoir qu’il me porte un peu plus attention. Je lisais alors, pour « étudier ». Peut-être que je pourrais le rendre fier ainsi. Stupide. Naïf. Au moment, où je me rends compte que son regard reste identique, je me dis que je pourrais alors rejoindre les autres. Néanmoins, il est trop tard. Les autres me tournent le dos et je demeure seul dans ce silence profond. Je crois que c’est à partir de ce moment-là, que je suis réellement devenu adepte de la lecture, en particulier sur ces livres d’enfants avec des héros… Une raison obscure m’y poussait à apprécier.

Lors d’un test en primaire, j’ai appris que j’avais un potentiel avec une affinité de glace. Non éveillé, mais le fait était là, je pouvais animer, ce pouvoir qui au fond de moi, était encore dans un sommeil profond. Pourtant, je ne fis rien de cette information… Je ne comprenais pas vraiment la situation et mon père m’avait dit dans ma jeunesse, que lorsqu’on me ferait un test de ce genre, il serait préférable pour moi de ne pas faire attention à ces « agences ». « Garde donc cette vie banale, mieux tu seras, sans problèmes, sans difficultés. Toi qui ne sais pas te lier…. »…. Je ne connaissais pas les idoles avant. Je ne pouvais rien savoir auprès de mes camarades, nous n’avions pas de télé au début… Mais, lorsqu’il en ramena une dans le salon, cela changea ma vision des choses.

Derrière l’écran. Il y a ces gens. Ils ressemblent à ces héros dans mes histoires. Leur chant résonne dans mes oreilles. Leur musique m’émerveille. Je me sens enivré. Ces protecteurs, qui par le biais de leur musique, combattent le « mal ». Je crois que c’était la première fois que mon regard s’est tant mis à pétiller. Ces « idoles », je les admire, je les envie tant. Mais cette voix me ramène la brusque réalité. Oui, je me dois de supporter un être pitoyable. Et, plus je grandis, plus mon dégoût envers lui s’intensifie. Je suis de ces enfants blasé, silencieux et solitaire. Je n’avais qu’un modèle : le sien. Alors oui, mon langage n’était pas approprié. Mon regard est sombre, et, sans doute qu’aux yeux des autres, je devais être délinquant. Cela se serait sans doute avéré vrai, si je ne trouvais pas du positif sans mes histoires. Je rêvais, d’avoir comme figures paternelles, ces personnages merveilleux.

Je me suis rendu compte, pourquoi, je lisais en permanence, des livres sur ce sujet, reprenant la même thématique. J’espérais juste… Trouver du réconfort, grâce à l’imagination que notre esprit peut nous offrir. Et cela continue encore. Peu importe à quel point les saisons passent. Ces idoles… Qui étaient réelles, non, des personnages de fictions, me rendaient alors particulièrement admiratif. Mon idéal, était de rentrer dans ces histoires, pour devenir une personne respectable, car je n’appréciais pas la solitude, et ce, malgré mes tentatives d’approches… Mon cœur ne voulait pas s’ouvrir et je n’arrivais pas à déceler le cœur des autres. Cela me bloquait. Et mon instinct enfantin, me murmurait, que si j’étais comme eux, peut-être, j ‘y arriverais. Mais l’idéal se dissipe. Il laisse place à cette nouvelle envie. Fiction peut devenir réalité. Si je devenais un de ces héros du monde réel, mon souhait se réaliserait. Oui, c’était décidé : je voulais devenir une idole !

J’étais au collège, lorsque j’ai vu cet objectif s’ouvrir sous mes yeux. Les possibilités étaient là, si je travaillais pour éveiller mon potentiel, les chances s’ouvraient à moi. Mon cœur était fierté et gaieté. Enveloppé, dans l’ivresse qu’était ce jour. Je voulais malgré tout lui en parler. À lui. Celui qui me servait de géniteur, et ce, malgré nos relations fortement disgraciées. Seulement, comme à ses sales habitudes, il ne put s’empêcher, de briser ma joie. Résonne alors, dans ce salon miséricordieux, son rire sarcastique, atteinte à mon ego et à mon ardeur :

« Toi ? Une idole ? Tu t’es regardé avant de déballer ces conneries ? Tu n’es qu’un sale gosse, qui a pris du mauvais caractère de son père et incapable de ressentir quoique ce soit pour les autres. Tu ne sais pas aimer les autres, et après, tu veux être comme un de ces héros, que tu trouves dans tes jeux vidéo ou dans tes livres débiles ? Mon pauvre fiston, redescend sur terre, tu n’as pas la carrure pour entrer dans ce monde. Potentiel ou non. Deviens un haut-fonctionnaire à la rigueur…. Mais, si tu ne sais pas aimer les autres, aller vers autres, comment pourrais-tu vouloir les protéger en misant ta vie là-dessus ? La bonne blague. Pourquoi cherches-tu donc, à protéger les autres, qui t’ont tous tourné dos ? »

Il n’y a pas de rage. Pas de colère dans mon cœur. Je ne sais pas m’énerver, mais j’étais frustré et je ne pouvais pas le laisser continuer :

« Tu ne m’as pas aidé alors que tu savais très bien ce que je vivais, et à quel point je me sentais seul. Tu n’es ni un bon père, ni une personne respectable. Tu passes sans cesse, ton temps libre à boire, fumer, batifoler avec des femmes. Et tu oses me dire ces propos ? »

« En effet, en même temps, toi-même, tu sais que j’ai pas vraiment voulu t’avoir comme rejeton et que je fais juste le stricte minimum pour ne pas avoir trop de problèmes. Ce qui se passe à l’école, je m’en fiche, et pareil pour ce que tu penses. Toi et moi, on le sait, on pourra jamais se sacquer. Et si tu ne t’énerves pas là, c’est juste parce que tu ne sais pas comment faire. Mais ce que je te dis, ce n’est que la vérité et tu le sais. Tu ne peux pas devenir un héros. Tu n’en possèdes pas les vertus. Tu n’as pas de courage. Tu ne sais pas t’exprimer. Et tu ne peux te distinguer, tu l’homme seul, celui qui reste dans l’ombre. Un héros, n’est-ce pas quelqu’un qui se bat pour les autres ? Quelqu’un qui défend des valeurs ? Celui qui a un sourire incroyable faisant chavirer les cœurs ? Toi qu’est-ce que tu as en commun ? »

« Je…. Peut-être oui…. Je ne sais pas sourire. Je n’ai aucune réelle valeur à défendre. Je ne sais pas, si je voudrais me battre pour les autres, car je me fiche des autres. Ils m’ont tourné le dos, parce que j’ai été peut-être froid avec eux ? Parce qu’ils ont compris que je m’en fichais. Que je n’arrive pas à les comprendre.. Et, sans doute, je n’ai aucun courage. Mais… Oui ! Cela me dérange, alors cela veut dire que je ne suis pas si indifférent par rapport aux autres. Et, par dessus-tout, je veux changer cette situation. Je veux devenir quelqu’un de respectable. Avoir des modèles différents de toi… »

« Et tu penses que tu y arriveras en étant une idole ? »

« Pourquoi ce ne serait pas le cas ? »

« Les gens t’admireront, et si tu ne sais pas ouvrir ton cœur avec les autres. Tu verras ton fossé, se creuser encore plus. Écoute-moi mon premier conseil, si tu veux vraiment devenir l’une de ses petites idoles dites respectables, soit au moins capable de sourire et trouve-toi donc un but là-dedans morveux. Et au moins, réussi à éveillé ton pouvoir haha.»

Incapable de répliquer. Je me suis juste questionné. Posé devant mon miroir, j’essayais d’afficher un sourire. Je me rappelais, de ces observations que j’ai pue faire des autres. Une imitation parfaite… Mais terriblement fausse. Quel sentiment il y avait derrière ? J’étais incapable de le dire. L’impression d’entendre un bruit strident me venait, tout se brouillait dans ma tête, je ne savais pas quoi faire. Mais je ne voulais pas abandonner. Je n’avais pas envie de l’écouter. Mon regard s’est enflammé, je me suis de nouveau regardé :

« Tu vas voir ! Si selon toi, il me faut être capable de sourire réellement, il me faut être capable de m’ouvrir et trouver un but là-dedans, alors il en sera ainsi ! Je ferais en sorte que ça arrive, puis, après, dès que mon potentiel se sera éveillé, j’irais voir une agence, passer un casting et je te montrerais à quel point, tu as eu tort de me rire à la figure ! »

C’est le moment, où l’on veut se rebeller. Où on veut s’émanciper. On en a juste assez de tout et notamment de ses parents. Je me survoltais vraiment pour la première fois. Je me suis laissé consumé, par cette envie, plus sincère qu’auparavant. Cherchant, ce qui pourrait me pousser à m’exprimer, à apprendre à me connaître et à connaître les autres. Un moyen, qui me donnerait, une véritable raison pour me battre, sans que ce soit juste : pour m’éloigner le plus, de cette vie sordide. Après de longues recherches, pour des raisons inconnues et étranges : je me suis tourné vers le cinéma et la comédie. Le métier d’acteur, et tout ce qui en était proche, me paraissait intéressant. On y représente des personnages. On y montre de nombreuses expressions, on est forcés à se lier avec nos collègues et par-dessus tout… En s’identifiant, dans un monde inventé et scénarisé, on devenait un personnage d’une histoire… Il y en avait pas mal des intérêts non ?

De nombreux efforts. Un sourire travaillé encore et encore. Je me suis forcé à aller voir les autres, parfois, je me faisais rejeter parce que ma franchise avait trop blessé, mais j’ai pu parler plus avec certains camarades. Ils m’ont servi d’objets d’études, grâce à leurs expressions. Et, il y en a deux, que jusqu’à la fin du lycée, j’ai pu réussir à sourire naturellement, ressentir le bonheur auprès d’eux, et, ils m’ont permis de comprendre, ce qu’étaient de véritables amis. Pour une fois, j’irais remercier mon con de père ! Il m’a…. Tellement remis en perspective avec ses mots, que ça m’a forcé à faire que je n’avais pas osé avant. Aller de moi-même voir les autres et brisé ma situation.

Lancé dans mes études. J’ai tout fait pour devenir quelqu’un d’assidue et aussi étonnant cela est-il, j’ai pu avoir mes premiers rôles. Apprécié du publique, j’ai commencé à m’élever un peu plus. J’ai quitté mon père dès que je l’ai pu et mes derniers mots furent : « Merci vieux croûton. »

Un sourire désormais toujours présent. Un changement bel et bien présent. Mais un vide qui reste constant. Si je m’améliore petit à petit. Que je cherche sans cesse à éveiller mon pouvoir et en vain, je n’abandonne pas. Je me plais pourtant dans cette carrière alors, si je deviens une idole un peu plus tard cela n’est point bien grave… Tant que cela arrivera.

pseudo • Yui
Ok... Vous êtes beaux. Vous êtes sweet. Ce forum est un petit sucre.

Encore un dont il faudrait kick les parents...
On lui souhaite de réaliser ses rêves !

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