âge • 20 ans tout pile.
date de naissance • 1er Août.
genre • C’est une jeune femme en bonne et dû forme.
orientation sexuelle • Hétérosexuelle, seul les hommes l’intéresse.

métier• Elle est étudiante pour devenir peintre en décors mais sa vraie passion c’est la danse.

potentiel • Non éveillé.
affinité • Vol.

Sensible ; Artiste ; Têtue ; Sympa ; Douce ; A du caractère ; Calme ; Dynamique ; Créative ; Perfectionniste ; Autonome ; Rêveuse ; Charismatique ...
C’est fou ce qu’on peut penser d’une personne au premier regard. On regarde bien entendu s'il ou elle nous paraît beau ou pas, s’il est gros ou pas. Alors, que peut-on dire de Maïwenn ? Elle semble tellement fragile comme une brindille. Elle semble tellement gentille, tellement naïve mais il est indéniable qu’elle est charismatique ou, tout du moins, qu’elle a beaucoup de charme, ce qui attire le regard sur elle.

Est-ce qu’elle est vraiment tout cela ? Pas vraiment non. Tout du moins, elle n’est pas naïve, elle n’est pas bête. Bien sûr, il peut lui arriver de se faire berner par certains mais ils n’arriveront pas à berner Maïwenn deux fois. Il ne faut pas prendre la jeune femme pour une idiote. Elle est assez rancunière et n’aime pas les hypocrites. Elle devient assez méfiante avec ces personnes comme avec ceux qu’elle ne connaît pas vraiment d’ailleurs. Cependant, il ne lui faut pas trop longtemps pour devenir un peu plus chaleureuse et douce. Surtout envers des personnes qui aiment les mêmes choses qu’elle : les animaux, la danse notamment. Elle dit d’ailleurs que si les animaux aiment quelqu’un, c’est que cette personne est quelqu’un de bien. Elle se fie parfois plus à l’instinct de ses chiens qu’au sien … Oui, je sais, c’est bizarre.

Maïwenn a du caractère, elle ne se laisse pas marcher sur les pieds facilement, elle peut rembarrer les autres si elle le sent. Plus elle se sent acculer, plus elle va ce renfermer ou au contraire exploser car Maïwenn est extrêmement sensible. Son seuil de tolérance est très bas : elle pleure, elle crie, elle râle. Bref, elle laisse parler son quotient émotionnel très élevé. Cependant, ce « défaut » est aussi une qualité dans sa vie d’artiste, de danseuse mais aussi de dessinatrice et peintre. Sa sensibilité lui permet aussi de comprendre ce que les autres ressentent un peu plus facilement que la moyenne. Comprendre n’est pas ressentir et même si elle pleure avec eux mais qu’elle n’a pas subi ce qu’ils ont subi, elle ne sera pas totalement capable d’être à 100 pour 100 avec eux même si elle ressentira beaucoup de compassion.

Maïwenn est très créative, elle imagine beaucoup et son imagination est débordante. Dès qu’elle commence à lire un livre fantastique ou policier, elle imagine tout, du décors jusqu’aux visages des personnages. C’est pareil pour sa danse ou ses peintures, certes, parfois elle prend des exemples pour ses peintures mais elle aime aussi peindre en toute liberté. Pour compléter le côté artiste -et là, on entre un peu dans le cliché -, c’est une grande rêveuse. Son esprit part à droite et à gauche très facilement au grand damne de certains. Ce qui peut parfois emmener de drôles de situation et parfois, c’est beaucoup moins sympa … La jeune femme est très perfectionniste dans tout ce qu’elle fait, de sa vie personnelle à sa vie professionnelle. Elle est parfois un peu trop perfectionniste d’ailleurs.

C’est une femme dynamique, elle aime courir, s’amuser, vivre tout simplement. Pourtant, elle n’est pas une fêtarde, elle ne fait pas la fête tout le temps. Elle a simplement besoin de bouger et surtout de danser, c’est son moyen de lâcher prise. Dynamique ne signifie pas qu’elle n’est pas calme. Au contraire, elle est plutôt calme dans sa vie de tous les jours, elle se met rarement dans une très grosse colère. Maïwenn est du genre têtue. Très têtue, parfois trop, quand elle a une idée dans la tête, elle ne là pas autre part. La jeune femme est quelqu’un d’autonome, d’indépendant aussi bien par choix que parce qu’elle « déçoit » son père. Tout du moins, c’est ce qu’elle croit car il ne le lui a jamais dit … C’est un sujet un peu difficile à avaler, difficile à gérer.

Il y a encore tout un tas de choses à dire mais, il faut le découvrir petit à petit ...

« Maïwenn, veux-tu arrêter de bouger quelques instants s’il te plaît ? » « Papa, je ne bouge pas, je danse. C’est de la danse contemporaine ...» « Peu importe, va te changer, nous avons des invités. » L’homme se détourne de la petite fille de huit ans sans se retourner. L’enfant soupire, la tristesse se lit sur son visage et ses yeux se remplissent de larmes. Elle baisse les yeux. Elle sait bien que son père est dur avec ses enfants et particulièrement avec elle sans qu’elle ne sache pourquoi d’ailleurs. Elle est probablement une déception pour lui même si elle n’a jamais rien fait de mal pour cela. Tout du moins, elle ne pense pas mais elle se pose beaucoup de questions comme par exemple : « est-ce que je ne suis pas sa fille ? », « est-ce que c’est parce que je suis une fille ? » ou bien encore « est-ce que c’est parce que je ne veux pas être avocate ? ». Elle pleure souvent, la plupart du temps, en cachette de son père afin de ne pas le décevoir encore plus.

Elle s’ennuie durant les dîners des adultes car ils durent longtemps et elle n’a pas le droit de sortir de table sans autorisation. Elle doit aussi faire attention à tout ce qu’elle fait ou ce qu’elle dit. Secrètement, elle bouge les pieds sous la table et lance quelques regards à ses frères qui sont plus ou moins réceptifs. Parfois, elle réprime un rire quand l’un d’eux fait une grimace dans sa direction, ce serait très mal venu de sa part. Quand les enfants sortent de table, Maïwenn et deux de ses frères restent un moment dans la chambre des uns ou des autres tandis que l’aîné des quatre enfants rentre dans sa chambre pour étudier. Le plus sérieux, coincé d’entre eux, le plus renfermé et froid aussi. A l’image du père d’ailleurs. Heureusement qu’elle a ses deux autres frères qui forment un duo comique assez remarquable et qui arrivent toujours à la faire rire. Parfois, ils forment une tente avec des draps, empilent des oreilles et s’endorment blotti les uns contre les autres. Pour Maïwenn, ces moment sont gravés dans sa mémoire comme des moments extrêmement précieux et inoubliable.

La douceur de sa mère compense la dureté de son père mais il n’empêche qu’elle aimerait être plus proche de lui parce qu’elle l’admire. Tout comme elle admire son aîné qui suit les traces de son père. Sa mère est une artiste, un peu étourdie, un peu maladroite. Parfois, elle se demande comment son père a pu choisir sa mère tant ils sont différents mais en grandissant, elle va comprendre et se rendre compte que sa mère apaise son père et qu’il l’aime réellement. La mère et la fille sont très fusionnelles, Maïwenn adore sa mère qui lui a apprit à dessiner, à peindre et qui s’occupe d’elle comme une mère poule. Elle l’est tout autant avec ses 3 fils ceci dit. Mais sa mère est aussi fragile qu’un papillon et elle tombe facilement malade alors parfois, c’est Maïwenn qui aide sa maman quand elle n’est pas bien. Elle a grandi comme ça et a acquis assez rapidement une certaine maturité.

A l’école, Maïwenn est une fille plutôt sérieuse dans ses études mais il est clair que les mathématiques ne sont pas du tout sont trucs. Elle est bien plus intéressée par la littérature, par l’art et le sport. Plutôt calme, elle ne fait pas trop de vague mais les autres savent aussi qu’il ne faut pas l’embêter car elle est capable de s’énerver. Elle a un petit groupe d’amis(es) proches auxquels elle fait confiance et quelques autres personnes qu’elle connaît comme ça mais sans plus. Comme tous les enfants, elle ne sait pas vraiment ce qu’elle veut même si elle a une idée générale : elle veut danser. Certains de ses amis(es) rêvent d’être Idols mais elle, elle sait qu’elle ne peut pas parce que son pouvoir n’est pas éveillé et puis, ça ne l’intéresse pas tellement d’être une Idol.

La petite fille grandit doucement et devient une jolie adolescente au visage doux et au corps fin. Elle fait tourner les têtes de certaines personnes mais elle ne semble pas réellement s’en rendre compte. C’est surtout qu’elle a bien d’autres chats à fouetter … Sa mère est gravement malade et est à l’hôpital. Elle va la voir tous les jours pendant un long moment avant de rentrer chez elle mais elle s’en veut toujours de là laisser seule dans cette chambre blanche à l’odeur d’alcool désinfectant. La santé de sa maman s’est détériorée jusqu’à ce qu’elle décède un dimanche soir d’hiver. Maïwenn a eu beaucoup de mal à s’en remettre. Du moins, elle ne s’en ait jamais complètement remit. Perdre sa maman en pleine adolescence, à 14 ans, ce n’est jamais simple parce qu’elles avaient tellement de sujet à partager, à échanger. Pendant un long moment elle s’est refermée sur elle-même, ne souriant jamais, ne partageant rien de son deuil, de sa tristesse avec qui que ce soit. Elle dansait pour sortir ses sentiments et pleurait souvent en même temps. Ses trois frères l’ont aidé à remonter la pente, même l’aîné de la fratrie, c’est ainsi qu’ils se sont réellement rapprochés. Quant à son père, il s’est complètement plongé dans le travail et néglige un peu tout le reste. Il a perdu l’amour de sa vie et ses enfants tentent de l’aider, de lui montrer qu’ils sont là mais … ils ne sont pas sa femme.

Maïwenn a commencé à travailler en plus de ses études quand elle a eu 16 ans. Ce n’est pas grand-chose mais au moins, elle peut faire des économies pour plus tard. Elle obtient son diplôme à la fin du lycée et rentre dans formation pour devenir « peintre en décors ». Elle a vu un reportage quand elle était plus jeune et elle a trouvé cela intéressant mais il est probable qu’elle ne fasse pas toute sa vie. A 19 ans, elle prend un appartement et ses frères lui offrent un Siberian Husky qu’elle va appeler Naya. Il faut croire que son père a eu la même réflexion que ses fils pour lui offrir une Agouti Husky qu’elle va appeler Rina. Elle adore ses chiennes qui le lui rendent bien. Elle vit sa vie et elle en est heureuse.

pseudo • Maïwenn ira bien, je n'ai pas réellement de pseudo en vrai haha
Didier ? Comment vous savez que c'est moi ? Je suis une licorne avec des lunettes prénomme Didier, trop forts **
Ahem ... Je suis un peu folle, comme vous pouvez le voir mais je mord pas héhé
Hm ... Que dire ? Je ne sais pas, à vous de me découvrir  

Maïwenn est toute pipoue j'aime beaucoup comment tu as fais de son amour pour l'art et la danse un sujet important pour elle sans que ça prenne toute sa personnalité, c'est intéressant ! J’étais trop triste que sa mère soit morte j'aimais bien la relation qu'elle avait avec sa fille et son mari ouiiin Bref je te valide !

- vous pouvez maintenant faire un tour dans les listings (obligatoire)
- vous pouvez exposer vos amis
- vous pouvez chercher un rp ou en voler un tels les voleurs que vous êtes
- vous pouvez prendre ou proposer des missions
- vous pouvez devenir pauvre par ici